Précisions de l’intersyndicale PJJ sur le boycott du précédent CSA
Déclaration de l'intersyndicale, dont la CFDT, au CSA PJJ du 2 avril 2024
Pourquoi l’intersyndicale de la protection judiciaire de la jeunesse a-t-elle boycotté le précédent CSA ?
L’intersyndicale continue à porter ses revendications et attend des avancées malgré la défection de certaines organisations syndicales qui ont fait le choix de plus participer à l’intersyndicale alors que la question des allègements de la charge de travail pour les représentants syndicaux n’est toujours pas réglée.
Quand l’intersyndicale PJJ aura obtenu de véritables avancées pour exercer les mandats de représentants des personnels, ces annonces concerneront toutes les organisations syndicales, y compris celles qui ont fait le choix de quitter l’intersyndicale et de la discréditer dans une communication démagogique et opportuniste !
Quelles sont les conséquences pour les agents du boycott de l’intersyndicale PJJ ?
Un boycott n’empêche pas l’étude des textes, ceux-ci étant examinés le 2 avril 2024, soit dix jours plus tard.
Quelle pénalisation pour les agents ? Aucune, bien au contraire même, car ainsi ces textes ont pu être travaillés, en amont dans de bonnes conditions, ce qui permet de garantir une étude sérieuse et de préserver l’intérêt général plutôt que les intérêts particuliers.
L’intersyndicale n’a pas boycotté le précédent CSA dans le but de nuire aux agents.